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Le clown ou la reine? Faut-il choisir? Et si les deux pouvaient faire bon ménage? La lutte des classes connaît plus de trêves qu'on ne le croit et il fut un temps (est-il révolu?) où les fous et les princes s'amusaient mutuellement. Les oeuvres n'ont jamais manqué qui plaisaient à tous, petits et grands, doctes et ignorants. Ce livre tend à réhabiliter dans les lettres du XVIIe siècle, ordinairement vues à travers la splendeur des Cours et des salons, les foules anonymes qui applaudirent Shakespeare, Ben Jonson et Molière. En substance, il s'agit de l'écart qui se creusa entre goût populaire et culture des élites sous l'impulsion d'un certain humanisme et de la montée, en France, en Angleterre et aux Pays-Bas, du capitalisme et de la bourgeoisie urbaine. À quoi se joignit la pression de l'absolutisme, Richelieu appliquant à la culture les recettes de sa politique centralisatrice et autocratique. Lors de la Querelle du Cid, il encouragea ainsi la formation de la tragédie classique, genre éminemment savant dont la vogue allait bientôt gagner Londres et Amsterdam. Tout en discréditant quelques idées reçues, ces pages voient défiler, sous un jour parfois insolite, Corneille, Pascal et Racine, Milton et Vondel, Hamlet, George Dandin et la belle Amaryllis.