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La personnalité de Barnaba Chiaramonti, un simple moine bénédictin, ne le prédestinait pas à devenir pape. Il accéda pourtant au trône de saint Pierre en 1800 sous le nom de Pie VII, et pas dans n’importe quel contexte. L’Europe est alors bouleversée par la Révolution française, prise dans la tourmente des guerres et des impérialismes. Il eut alors pour mission de conserver son pouvoir spirituel, mais aussi temporel. Xavier Maréchaux raconte ici le destin extraordinaire d’un homme, et de l’institution qu’il devait préserver. Napoléon, qui n’avait pas une passion immodérée pour la contradiction, supportait mal la concurrence d’une autorité aussi puissante que celle de l’Église. Dès le début du pontificat, les relations ont été conflictuelles. Convoqué par l’Empereur pour bénir son règne à l’occasion du sacre, le pape était décidé à défendre les droits de Rome. Mais la dispute dégénère à un point tel que les armées de l’Empereur finissent par occuper les États du pape, capturer Pie VII et l’emprisonner. L’histoire ne s’arrête pas là, et dépasse la querelle entre deux individus. Xavier Maréchaux décrypte les conséquences de cette rencontre manquée. C’est le point de départ d’une mésentente entre l’Église et la France qui durera tout au long du XIXe siècle et affecte encore aujourd’hui les relations entre la République et le Saint-Siège.