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En 1933, Gustave Roud a 36 ans. Ses quatre premiers livres l’ont imposé comme un poète avec lequel il faudra désormais compter. Mais ce printemps-là, sa mère meurt. Après une période de stupeur, il entreprend de faire le récit des mois précédents alors que dans son agenda, il sauve ce qu’il peut des journées qui s’enfuient. Le journal intime se fait herbier et bestiaire, recueil d’observations, hymne à la nature et aux paysans qui la travaillent.
En écrivant « sur le vif », en identifiant ces instants où sa présence au monde est la plus forte, et en prenant la peine et le temps de l’inscrire quelque part, Gustave Roud nous offre une leçon de patience et d’attention, à opposer sans tarder à la frénésie de nos vies contemporaines.
Poète, traducteur, critique et photographe, Gustave Roud (1897-1976) est, entre son aîné C. F. Ramuz et son cadet Philippe Jaccottet, l’un des écrivains suisses les plus importants du XXe siècle. Ses Œuvres complètes (Zoé, 2022) ont reçu un accueil remarquable : « un événement » (Le Monde) qui « rend honneur à son travail d’écriture » (Libération). Le Journal est peut-être la part la plus émouvante de cette « aventure de la vie intérieure qui n’a pas renoncé à la lumière du jour » (Télérama).