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La marche est le moteur de l’écriture de Gustave Roud. Loin du pittoresque de la montagne, les lieux qu’il arpente jusqu’à l’épuisement sont faits de collines, parcourus de ruisseaux, ponctués de villages et de vergers. C’est sur la route qu’est né Adieu (1927), son premier livre, au seuil duquel le poète se déclare « quitté par la Poésie ». Et c’est sur la route que la poésie redevient possible.
Dans Feuillets (1929), Roud rassemble et agence des notes tirées de son journal, dans une tentative de capter le réel au moment de son surgissement. Avec Petit traité de la marche en plaine (1932), il évoque encore plus directement ces paysages qu’il aime, discrets, habités, qui deviennent sous sa plume des corps sensuels et vivants et ouvrent sur une exploration de la mémoire et du temps.
Poète, traducteur, critique et photographe, Gustave Roud (1897-1976) est, entre son aîné C. F. Ramuz et son cadet Philippe Jaccottet, l’un des écrivains suisses les plus importants du XXe siècle. Après avoir publié ses Œuvres complètes en 2022, Zoé poursuit la reprise en poche des livres les plus marquants de cet auteur, préfacés par des écrivains comme Marie-Hélène Lafon, Pierre Bergounioux, Claro ou encore Célia Houdart.