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Je ne suis pas un psychanalyste de salon, je suis un psychanalyste tout-terrain ! Alors quand ça me prend je couche sur l'écran d'ordinateur ces copeaux, dans l'ordre où ils se présentent, autant dire en vrac, décousus, épars. Il s'agit de poèmes nés spontanément, de réflexions surgies en dérive de la conduite des cures, de dires étonnants de patients, de lectures inspirantes, de textes écrits pour des colloques, d'articles d'actualité, de commentaires, de notes de lecture, de citations...Une composition étrange, un patchwork. Ensemble décousu, inachevé et inachevable, et qui pourtant, dans l'après-coup de la relecture, forme comme la texture d'un gay sçavoir, pour reprendre la belle expression de François Rabelais. Une opération de nettoyage, de catharsis, de purification, pour ménager de la place, faire le vide et produire de l'ouvert disponible pour de nouvelles rencontres. Cette écriture seconde dégage pour l'analyste que je suis (équivoque de l'être et du suivi !) une architecture surprenante, les lignes de fuite d'une traduction qui met à jour les écritures d'un palimpseste inconscient où ne cessent de s'écrire et de s'effacer les mouvements sismographiques provoqués, dans le corps qui les accueille, par l'écoute des paroles d'autrui.