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La crise du covid a mis en lumière les profondes inégalités mondiales en la matière. Et si l’on suit l’OMS en définissant la santé non pas uniquement comme l’absence de maladie, mais comme un état de complet bien-être physique, mental et social, alors les fractures entre pays, mais aussi entre classes, genres et identités ethnoraciales apparaissent encore plus abyssales. Au-delà de l’accès à la santé, c’est aussi dans sa production même que s’observent les déséquilibres et les relations de pouvoir entre et au sein des pays. La lutte autour des brevets, par exemple, montre à quel point les savoirs médicaux sont encore trop souvent produits et appropriés par une poignée de sociétés privées du Nord pour répondre aux besoins de santé… du Nord. Face à ces injustices, les appels à une «?décolonisation de la santé mondiale?» se multiplient, non sans soulever leur propre lot de débats et de luttes de pouvoir. Reste un enjeu fondamental?: comment élaborer d’authentiques «?politiques publiques sanitaires mondiales?» permettant de réduire les inégalités, de démocratiser les savoirs et de sortir la santé des logiques marchandes dans lesquelles elle est enfermée aujourd’hui. Les méfaits de la gestion néolibérale de la question du 4e âge, viennent d’être mis sous les feux des projecteurs avec la parution du livre de Victor Castanet, Les fossoyeurs.