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Mon nom est Charles McNicoll ; mes clients m’appellent cependant Monsieur Hämmerli. Tueur à gages, je me suis recyclé dans le meurtre par compassion – l’euthanasie, quoi. Mais l’histoire que je veux vous raconter n’a qu’un lien indirect avec la mienne… De fait, elle a commencé un soir de juillet quand, visiblement maussade, le sergent-détective Francis Pagliaro est entré au Bar de la faillite où le tenancier Roger, son comptable Gros Luce et moi prenions un verre. Comme d’habitude, direz-vous. Plus par politesse que réel intérêt, nous nous sommes enquis des raisons de sa mauvaise humeur. Quelques minutes plus tard, nous échangions des regards inquiets en apprenant que l’enquête sur la mort de l’ex policier Maurice « Mo » Charbonneau, survenue dix-sept ans plus tôt, était rouverte, et que Pagliaro avait reçu le mandat de déterminer si Marcel Banville et Simon Lemoyne, les enquêteurs de l’époque, avaient bâclé leur travail et fait emprisonner un innocent. Or, Roger, Gros Luce et moi connaissions bien les combines de ce trio de gredins – même qu’en décédant, Mo avait privé Roger d’une partie de son chiffre d’affaires ! Bref, comprenez notre inquiétude : comment diable allions-nous nous y prendre pour « orienter » Pagliaro dans la bonne direction tout en nous assurant qu’il ne fouine pas trop dans nos combines ?