Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
L’extermination des Juifs de Hongrie, dernière en date des actions de la « solution finale » conçue par les Nazis, se heurta à une opposition sans précédent dans l’histoire. Coupés de tout soutien, privés d’armes et d’alliés, doublement isolés dans un pays hostile, et au sein d’une communauté plaçant son espoir dans une défaite imminente de l’Axe, ou une nouvelle négociation, les jeunes Sionistes de Budapest opposèrent, aux Nazis déchaînés, une résistance presque désespérée. Instruits par l’expérience des autres actions d’extermination, inspirés par les survivants du ghetto de Varsovie, les jeunes Juifs de Budapest trouvèrent un défaut dans la cuirasse ennemie : sa « colossale » organisation. Déguisés en SS, en agents de la Gestapo, en policiers ou en Nazis hongrois, munis de faux papiers de toutes sortes, ils se lancèrent dans d’inconcevables opérations de sauvetage. Contre toute logique, certaines furent un succès. Les pionniers réussirent à ouvrir les portes des prisons, à stopper des trains roulant vers Auschwitz, à délivrer des marcheurs dirigés vers la mort. Plus de 100 000 Juifs leur doivent la vie. La plupart de ces Résistants sans résistance, de ces insurgés sans armes, ont péri. Les survivants, en Israël ou ailleurs dans le monde, n’ont pas oublié. Ce livre est fait de leurs souvenirs.