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Grâce à un texte fluide, vivant, qui se colle aux gestes et aux pensées de plusieurs personnages appelés à se croiser sur une durée de sept jours, Marielle Giguère raconte la dérive de Martin. Père d’Emma, mari de Véronique, propriétaire d’une entreprise de fabrication de battes de baseball artisanales, l’homme semble avoir tout pour être heureux dans sa belle maison montréalaise. Pourtant, les lecteurs sont happés, tout comme le protagoniste, par une série d’événements qui mènent à une fin dramatique, celle du meurtre d’Emma et Véronique.
Si l’autrice prévient d’emblée que le récit se termine par un féminicide, elle prend bien soin de ne pas laisser le sensationnalisme prendre le dessus ; aucun effet superflu ici, mais plutôt des portraits nuancés, un grand mouvement de vie et de mort, des questions sans réponses et des personnages en qui chacune et chacun peut se reconnaître. La descente de Martin vers la rage incontrôlable qui clôt le récit témoigne de la grande maîtrise littéraire de l’autrice et de sa capacité à aborder des sujets délicats sans tomber dans le piège du fait divers.