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« C'est une vision de l'homme et du monde, une réflexion sur notre civilisation considérée comme celle de la décadence, un refus de la métaphysique et de l'ontologie traditionnelles, de la religion et de la morale, la volonté de trouver dans l'art, et dans le théâtre en particulier, le remède à nos maux, c'est enfin une pratique originale de l'écriture, qui sont entre Artaud et Nietzsche des points de convergence. La question de la cruauté est indissociable de ces formes essentielles de la répétition et de la représentation que sont le rite et le théâtre, où Artaud et Nietzsche ont d'abord cherché le secret de la vie comme cruauté. Ils y furent contraints non seulement par la nécessité historique, par le fait que nous sommes inscrits dans l'histoire de la culpabilité et de la mauvaise conscience, mais aussi parce qu'ils furent d'abord enclins à penser la cruauté comme le signe d'une nécessité métaphysique de réconciliation avec un Réel qui fut dérobé : rêve d'une harmonie retrouvée dont l'expression première fut le désir de réconciliation entre la nature et la culture. »