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Le 19 juillet 1979, débute l’ère du Nicaragua libre. Quand les « Muchachos » entrent triomphants à Managua, la sanglante dynastie des Somoza prend fin, en même temps que quatre siècles de domination étrangère. Sur les murs des villes, court cette affirmation : « Sandino Vive ». Le monde se souvient alors du patriote qui dirigea la première guerre de guérilla du continent. « Au nom du prolétariat révolutionnaire d’Europe », Henri Barbusse l’avait surnommé « le général des hommes libres ». Première révolution sur le continent, vingt ans après celle de Cuba, dans les Caraïbes, la révolution nicaraguayenne fait face à l’agression des États-Unis. Les contre-révolutionnaires, armés, financés, par la CIA ont déjà causé neuf mille victimes. C’est dans le contexte de cette guerre non déclarée que la jeune révolution doit faire ses preuves. Elle hérite d’un pays sous-développé, où tout est à construire. Une partie de bras de fer se joue ainsi entre l’impérialisme le plus puissant et un pays pauvre, quatre-vingts fois plus petit, mais dont le peuple se sent, pour la première fois, maître de son histoire.