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Il y a quelques décennies, la tuberculose faisait des ravages dans tous les milieux sociaux. Les familles, dont un proche était atteint, n’en parlaient jamais. C’était une tare. Cette époque est révolue. Personne n’a plus peur de cette maladie enfin maîtrisée et vaincue. Aujourd’hui, aucune famille n’est à l’abri d’une autre terrible maladie, que le jargon médical désigne sous le nom de « schizophrénie ». Ce qui a été fait pour la tuberculose ne peut-il être tenté pour la maladie mentale ? Celui qui en est atteint ne devrait pas être exclu du monde et marginalisé : c’est ce qu’affirme, avec sa fougue habituelle, l’auteur du "Journal d’un barbare", Roger Boutefeu, qui pose ici le problème des malades mentaux dans la société, non pas abstraitement, mais à partir de faits vécus. Son livre n’a pas l’ambition d’apporter des solutions toutes faites, mais d’ouvrir des pistes pour vaincre la peur du « bien portant » vis-à-vis du psychotique, lui aussi en proie à la peur.