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Tout d’abord, quelques précisions biographiques sur Edith Stein, qui traversait déjà Panthéon, le précédent roman de Yann Moix… Née en 1891, à Breslau, dans une famille juive, Edith Stein fut, dans sa jeunesse, une des plus brillantes élèves du philosophe Edmond Husserl – puis, tentée par la foi chrétienne, elle finit par se convertir au catholicisme et se retira au Carmel sour le nom de sœur Thérèse-Bénédicte de la Croix. C’est dans ce Carmel, en 1942, que les nazis vinrent l’arrêter, « en tant que juive ». Elle fut déportée et gazée à Auschwitz. En 1987, Jean-Paul II béatifia Edith Stein… C’est donc à partir de cette vie, toute de philosophie et d’amour, que Yann Moix a bâti son livre. Et sur ce sujet a priori tragique, il écrit un ouvrage profond, émouvant, drôle – « moixien ». Ses questions : qui était vraiment Edith ? Qu’est-ce qu’un juif ? Qu’est-ce qu’un juif devenu catholique ? Qu’est-ce qui distingue le sacré du profane ? A quoi se veut-on fidèle en devenant infidèle ? Etc… Biographie ? Roman ? Biographie romancée ? Roman vrai ? On hésite à qualifier le genre de cet ouvrage. Ce qui est certain, c’est qu’il est écrit avec une grâce et une légèreté sans pareille. Et qu’il déconcertera tous ceux qui ignorent encore que Yann Moix a plus d’un tour – et d’une obsession – dans son sac.