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Un livre explosif et sans hypocrisie sur la police, ses méthodes d'enquête, la fabrication d'un coupable idéal, l'inconscience des jurés, des fonctionnaires de l'administration pénitentiaire, des détenus eux-mêmes... Claude Mauriac, qui a soutenu Roland Agret dans son combat pour la Justice, a écrit la postface de ce document exceptionnel. Mon combat est le vôtre, l'erreur judiciaire, ça n'arrive pas qu'aux autres : victime d'un règlement de comptes entre truands protégés, le passé un peu turbulent du jeune Roland Agret le désigne, tout naturellement, pour le rôle de bouc émissaire. Condamné à quinze ans de réclusion criminelle pour complicité de meurtre, il sort de prison au bout de sept ans, interrompus par six mois de liberté provisoire. Mais la grâce dont il a bénéficié n'a pu être obtenue qu'au prix d'une grève de la faim de un an et vingt-huit jours, qui faillit lui coûter la vie. Sur un ton très personnel et vibrant, Roland Agret dénonce ici les mécanismes qui permettent de réduire un innocent au silence. Mécanismes d'un système qui, depuis l'enquête et l'instruction d'une affaire, jusqu'à la vie en milieu carcéral, en passant par le procès, ne peut - et ne veut peut-être ? - que fabriquer des coupables, des responsables commodes pour le confort moral de chacun et de tous.