Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
La migration Sud/Nord est l'un des thèmes majeurs du discours politique ou médiatique actuel en Occident. Le Zaïre n'échappe évidemment pas à ce grand déplacement des "pauvres du Sud" vers la "riche forteresse Europe". La Belgique est l'un des points d'arrimage des Zaïrois exilés. Combien de Zaïrois résident en Belgique ? Qui sont-ils ? Quelles causes donnent-ils à leur déracinement ? Comment s'intègrent-ils ou ne s'intègrent-ils pas dans leur "pays d'accueil" ? Etc. Mais surtout, quel est le manque à gagner pour le pays d'origine, comment l'économie et la société zaïroises s'en ressentent-elles de perdre jour après jour la matière grise et les jeunes en âge de produire ? Quelles stratégies l'Europe, et la Belgique en particulier, ont-elles adoptées pour contrer cette vague étrangère massive ? Rappelons qu'avec les Accords de Lomé III, de leur côté, les Etats ACP (Afrique-Caraïbes-Pacifique) se sont engagés à interdire l'émigration illégale de leurs nationaux vers la Communauté Européenne... Cette double analyse des tenants et aboutissants de la migration du Sud découvre le visage des "clandestins", des marginaux, des mal-aimés, des "Africains venus manger le pain des Blancs". Elle se veut une contribution à l'élaboration d'une autre politique des "pays-receveurs" à l'égard des "pays donateurs" ou pourvoyeurs d'une main-d'oeuvre bon marché.