Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Comment Meyer Suchowljansky, émigré juif russe débarquant en 1911 sur la «Terre promise» américaine, est-il devenu le mythique Meyer Lansky, l’ami de Bugsy Siegel et un proche de Lucky Luciano, le «parrain des parrains» ? Dès les années 1920 à New-York, Meyer négocie avec Luciano un partenariat entre mafias juives et italiennes. En pleine prohibition, ils font fortune dans le trafic d’alcool et prennent le contrôle de la ville pour créer le Syndicat du crime. Mais en 1932 à Chicago, Al Capone, incapable de justifier sa richesse et jugé coupable de fraude fiscale, finit derrière les barreaux. C’est le déclic pour Lansky qui comprend que la clé se trouve dans le blanchiment d’argent. Son génie aura été d’avoir su impliquer l’argent de la mafia dans des entreprises légales (boîtes de nuit, immobilier, hôtels, grande distribution etc.) et même dans certaines institutions financières. Dénoncé en 1951 aux États-Unis, désormais traqué par le FBI qui ne parviendra jamais à le faire condamner, il investit les milieux du jeu puis le commerce de la drogue de Cuba au Moyen-Orient en passant par Las Vegas. Sa fortune, estimée par le FBI à 300 millions de dollars, n’a jamais été retrouvée.