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« « Croyez-vous en Dieu, monsieur Carr ? » Cette question, on me la poserait souvent désormais, et toujours avec un air entendu. Comme si, déjà, on cherchait à débusquer en moi l’imposteur. Après tout : ne pas croire en Dieu dans ce pays n’est-il pas antiaméricain ? »
À cinquante ans, le scénariste Roman Carr est au sommet de sa gloire. Sa série télévisée « In Gad We Trust », satire cinglante de l’Amérique et de sa relation avec Dieu, fait un tabac. Roman Carr, né Romain Carrier, se taille une place enviable à Hollywood, aboutissement d’un long parcours tortueux pour ce Gaspésien qui a fui son village dans des circonstances troubles en 1962, à l’âge de dix-sept ans.
À la fois roman d’apprentissage et fresque historique, « Métis Beach » est le grand récit de l’Amérique des sixties. Il traduit à merveille l’extraordinaire mouvement de libération qui a marqué cette époque, les dérèglements qui l’ont accompagné, mais surtout l’irrépressible idéalisme qui a emporté toute une jeunesse.
« Métis Beach » est l’histoire d’un homme qui a vu son rêve se réaliser puis lui échapper. C’est une célébration du bien suprême qu’une certaine Amérique a rêvé de léguer : le droit de chacun à la liberté.