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« Se console-t-on jamais de la disparition de ses parents ? » se demande Jean Kéhayan en ouverture de ce livre. Surtout quand ce pays qui les a vus naître ne peut plus être le vôtre et qu’ils vous ont élevé dans le deuil de ce lien rompu brutalement par le génocide arménien de 1915 – eux qui n’en ont réchappé que par miracle pour vivre orphelins dans le refuge que fut Marseille. Seulement, à côté de cette Arménie de Turquie demeure l’Arménie soviétique, et c’est nourri de la mémoire de l’une que Jean Kéhayan voyage et enquête dans l’autre. Inconsolable du passé, il nous rend familier le présent et s’enthousiasma pour l’aventure arménienne d’aujourd’hui, quitte à déranger quelques certitudes de la diaspora. Un livre émouvant par un des meilleurs connaisseurs de l’URSS, qui nous plonge au cœur des mouvements du vaste empire. Un livre qui témoigne d’un peuple et interroge : « Où commence l’amour d’une deuxième patrie, où commence le nationalisme, cette plaie d’intolérance de notre fin de siècle ? »