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"L’architecture m’a cueilli dans ma prime jeunesse, dans ma ville médiévale dont le nom, Sarlat, était difficile à lire au milieu des cartes noires symbolisant les bois drus des forêts du Périgord noir. C’était une architecture de surprises faite de ruelles pour se cacher, pour se courser, de remparts pour se percher, faite de textures de toits et de murs, de lourdes pierres plates aux subtiles nuances de gris cendré réchauffées par le soleil ou approfondies par la pluie. Alors, j’ai voulu entrer aux Beaux-Arts pour jouer et me perdre avec ces situations, celles des matières, des lumières, des nuances… On n’est pas né dans la ville d’Étienne de La Boétie et dans le pays de d’Artagnan pour oublier ses convictions, mais au contraire pour les défendre bec et ongles et pour dire non à la maladie du style international parachuté qui, aux Beaux-Arts, s’imposait sur tous les projets étudiés sans aucun contexte géographique ou culturel…"
Dès ses débuts, Jean Nouvel élabore une vision de son art dans la cité et compose des textes qui sont autant de contributions à une pensée humaniste. Soucieux depuis cinquante ans des enjeux de l’architecture, il pose sans relâche la question philosophique et politique : l’art de l’architecture peut-il permettre à chacun de vivre mieux et à tous de vivre ensemble ? Associant réflexions théoriques, prises de parole, textes poétiques, visions pour des projets, Mes convictions constitue la révélation d’une pratique littéraire continue, demeurée largement secrète et désormais rendue publique.