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Rien ne nous est devenu plus étranger que le dogme de l’Immaculée Conception. Même si l’on a cessé de le confondre avec la conception virginale de Jésus, on n’en comprend plus l’enjeu. Marie, la mère de Jésus, aurait elle-même été conçue « sans tache », exempte du péché originel… Si ce n’est insensé, sans doute est-ce, pour beaucoup, totalement insignifiant. La clarté d’un dogme est peut-être dans sa manière d’éclairer nos existences. Marie, « l’Immaculée Conception », arrive avant le péché, avant cette histoire, terrible et ennuyeuse, d’un mal dont on croit se débarrasser en le faisant mieux circuler… Qu’est-ce à dire ? Ceci : il y a dans ce monde plus que notre propre enfer. Il existe une clef pour sortir de nos enfermements. Cette clef, un franciscain du XIIIe siècle nous aide à la chercher. Avec une audace théologique doublée d’un regard émerveillé sur la Création, Jean Duns Scot (1266-1308) nous confie le sens profond de l’Immaculée Conception : la vie humaine est, ultimement, un don à recevoir et une offrande à faire. Toute vie vraiment vécue commence par un « merci » et s’accomplit dans un « me voici ». À partir d’un dogme apparemment lointain, Martin Steffens nous rend plus proches de notre vie, et plus à même de l’aimer.
Philosophe, chroniqueur à La Croix et à La Vie, Martin Steffens est l’auteur d’une œuvre remarquée sur l’amour, le don et la joie, qui lui a d’ores et déjà valu le prix de l’Humanisme chrétien et le prix de la Littérature religieuse.