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Orphelin de père à l'âge de cinq ans, Gorki déménage chez son grand-père tyrannique et sa grand-mère maternelle, merveilleuse conteuse. C'est elle qui, grâce à son univers d'histoires et de légendes, aidera le petit garçon, curieux et souvent effrayé, à affronter la barbarie de la vie. Marquée par la pauvreté et une brutalité horrible, c'est cette enfance qui a permis à Gorki de comprendre – d'une manière que Tolstoï et Tourgueniev ne connaissaient pas – la vie du Russe ordinaire et de la représenter dans un récit imprégné d'une douce et poignante mélancolie, mélange inextricable de larmes et de rires. Des atmosphères et des tons qu'il est difficile d'associer à l'auteur universellement considéré comme l'initiateur du « réalisme socialiste » – une étiquette qui l'a submergé, le rendant l'objet de fureurs opposées, exaltatrices ou dénigrantes, concentrées non pas tant sur son œuvre que sur sa vie ou sur ce que l'on a voulu montrer de sa vie. Près d'un siècle après sa disparition, le moment est venu de relire ses livres, et de le faire avec un regard neuf.