Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
« La Nouvelle Justine ou Les Malheurs de la vertu » (1797) est une réécriture du premier ouvrage du marquis de Sade publié de son vivant « Justine ou les Malheurs de la vertu ».
Cette nouvelle version de « Justice ou les Malheurs de la vertu » se caractérise par une écriture encore plus indécente : Justine n’est plus narratrice, son vocabulaire et ses réticences morales ne limitent donc pas son évocation des passions dont elle est victime. S’ajoute la multiplication de ses malheurs et des déclarations sur le libertinage, l’athéisme, le relativisme des lois, l’inutilité de la vertu... Dans cette fin Justine ne meurt pas, elle cède la parole à sa sœur Juliette qui saisit le flambeau de la première personne pour raconter sa propre histoire dans « L’Histoire de Juliette ou les Prospérités du vice ».
LUST Classics est une collection de classiques de la littérature érotique. Les œuvres qui la composent ont été sélectionnées en raison de leur apport historique majeur au genre et ce malgré des contenus parfois susceptibles de choquer et d’être polémiques.
Donatien Alphonse François de Sade (1740-1814) est un romancier français dont l’écriture est caractérisée par une liberté et une audace sans doute jamais atteintes dans le reste de la littérature. Son nom est passé à la postérité en 1834 sous le néologisme « sadisme », qui fait référence aux actes de cruauté décrits dans ses œuvres. Interdites et diabolisées pendant tout le XIXe siècle, elles relatent des fantasmes sexuels sans limites. Son goût pour la luxure poussée à l’extrême lui vaudra un total de vingt-sept années en prison ou en asile pour « débauche outrée ».