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D’un charme et d’une élégance sans pareils, Louise de Vilmorin (1902-1969), issue d’une famille de grainetiers et de botanistes renommés depuis Louis XV, fut une des femmes les plus admirées des années 1920 aux années 1960. Séductrice de mille et un cœurs, égérie et complice de Saint-Exupéry, Malraux, Cocteau, Jean Hugo, Orson Welles, Roger Nimier, et tant d’autres, Louise ne subjuguait pas seulement par sa beauté et sa fantaisie, mais aussi par sa poésie. Arrivée à la littérature en 1934, sur les conseils de Malraux, cette femme du monde, hors école, impose un style. Fiançailles pour rire, "L’alphabet des aveux" et trois autres recueils de poèmes révèlent une riche imagination. Plébiscitée par les Surréalistes, elle entraîne le lecteur dans un monde merveilleux, où l’absurde se moque des conventions. Sainte Unefois, Le Lit il colonnes, Madame de... Julietta, L’heure maliciôse, parmi une dizaine de romans, la propulsent en tête des meilleures ventes, en rivale de Simone de Beauvoir. Amoureuse aux multiples conquêtes, mariée de 1925 à 1937 à Henry Leigh Hunt, homme d’affaires américain, et de 1937 à 1944 au comte Paul Palfy, un grand seigneur de Slovaquie, cette volage, fidèle dans ses amitiés jusqu’à l’obsession, affirme son indépendance et son originalité bien avant que les femmes ne s’émancipent. Généreuse et capricieuse, charmeuse et tyrannique, elle avait aussi le courage d’être franche jusqu’à l’insolence.