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Quoi ? Ce serait les peuples les coupables, et pas les régimes ou les dictateurs ? Un peu, en effet. Pire : c’est le magnifique principe de « peuple souverain » lui-même, né au XVIe siècle en Europe et mûri pendant plus de trois siècles, qui recèle en son sein la possibilité du génocide. Le génocide n’est pas automatique, mais sa possibilité est nourrie par la logique même du principe : pour que le peuple soit souverain, il faut en effet savoir qui en est et qui n’en est pas. Quatre génocides (au moins) ont découlé des réponses brutales à cette question : Arméniens, Juifs, Cambodgiens, Tutsis. Au XXe siècle, l’antisémitisme a servi en Europe de commode ferment identitaire, puis génocidaire, à un peuple en constitution, l’allemand. Au vu de ce qui se passe en ce premier quart du XXIe, les pulsions génocidaires affleurent désormais partout sur la planète. Il est donc urgent de réfléchir aux moyens de les freiner. S’ils existent.