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À Orvita, en Italie, un homme qui s’appelle Giotto raconte à son petit-fils, Matéo, sa passion pour les voyages lunaires et les pierres qu’on en a rapportées. Une jeune fille avale des lucioles avant de se coucher dans l’herbe pour regarder les étoiles. On projette des classiques du cinéma muet sur les voiles des navires amarrés dans le port. Un paon blanc, appelé Dieu, est assassiné d’un coup de diapason en plein cœur. Voici un livre qui amène le lecteur radicalement ailleurs. Comme dans chacune de ses œuvres, quel que soit le médium — musique, arts visuels — qu’il choisit d’utiliser, Rober Racine, avec une infinie liberté et une prodigieuse invention, transgresse toutes les règles pour en tirer des effets « inouïs ». Dans L’Ombre de la Terre, ce sont les voyages Apollo qui servent de point d’appui à son imagination poétique. Ce roman, que baigne une lumière irréelle et qu’habite une sourde violence, dit de manière poignante cette attirance pour la disparition et l’infinie solitude que l’on ne peut manquer d’éprouver quand on sonde les immensités glacées du cosmos.