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« Vers la fin je devenais de plus en plus malade, assoiffé de sang, et pourtant ces flots de sang m’emmerdent. Ce n’est pas quelque chose que j’ai envie de voir. Ce que je désire ardemment, par contre, c’est assister à la mort, et savourer le triomphe que j’y associe, mon propre triomphe sur la mort des autres. C’est comme une drogue, qui me pousse à en vouloir toujours plus. Je veux triompher de ma victime. Vaincre la mort. Elles sont mortes et moi, je suis vivant. C’est une victoire personnelle. » Ainsi s’exprime Edmund Emil Kemper lors des dizaines d’heures d’entretiens inédits qu’il a accordés à Stéphane Bourgoin dans le pénitencier de Vacaville, en Californie, où il est emprisonné depuis 1974. Interné à l’âge de 14 ans pour le meurtre de ses grands-parents, ce géant de deux mètres dix est relâché à 21 ans sur décision favorable des psychiatres. En l’espace de deux ans, il assassine, décapite, mutile six étudiantes, ainsi que sa mère et la meilleure amie de celle-ci, et il viole parfois les cadavres. En 1973, il se livre à la police.