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"Il n’est écrit nulle part que L’Incognito s’appelle L’Incognito. Une plaque sur la porte indique qu’il s’agit d’un foyer du parti radical-démocrate. L’Incognito est une cave située au 34 bis, via Venezia, juste en dessous de l’hôtel Anchorage si cela te tente, un jour, d’y faire un tour. Dès que j’y suis entré, j’ai su que c’était mon endroit, que ce serait mon endroit, ces deux prochaines années à Rome, que j’y passerais toutes mes soirées."
Dans L’Incognito, le narrateur, Hector Lenoir, raconte son séjour dans une Académie espagnole ressemblant fort à la Villa Médicis. Ici, Hervé Guibert brosse un vaste portrait satirique des directeurs, des pensionnaires délurés et de leurs relations entortillées, les vivants et les morts semblant se côtoyer dans un monde de fous. La nuit, on se promène de club en club, de boîtes de nuit en jardins hantés. L’un des bars planqués s’appelle L’Incognito. Là-bas tout peut arriver, même le meurtre sordide d’un fonctionnaire homosexuel amateur de prostitués. S’ouvre alors une enquête. Alter ego de l’auteur, Hector digresse sur la littérature, sur le conflit éternel entre réalité et fiction, et par là constate que le mensonge et les masques semblent souvent plus réels que la vérité nue. Le style de Guibert séduit plus qu’il ne dérange. Mots crus, repartie saillante, désinvolture et cynisme se mêlent ici pour une leçon ou une contre-leçon d’écriture.