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« Je peins ce que je vois et non ce qu’il plaît aux autres de voir. » D’autres mots que ceux d’Édouard Manet, à la touche pourtant si différente de celle de Monet ou de Renoir, pourraient-ils mieux définir ce que fut l’Impressionnisme ? Sans doute cette singularité explique-t-elle que, peu de temps avant sa mort, Claude Monet écrivit : « Je reste désolé d’avoir été la cause du nom donné à un groupe dont la plupart n’avait rien d’impressionniste. » Nathalia Brodskaïa dégage ici les contradictions de cette fin du XIXe siècle à travers le paradoxe d’un groupe qui, tout en formant un ensemble cohérent, favorisa l’affirmation des individualités artistiques. Entre l’art académique et le commencement de la peinture moderne non figurative, le chemin pour parvenir à la reconnaissance fut long. Après avoir analysé les éléments fondateurs du mouvement, l’auteur poursuit son étude à travers l’Œuvre de chacun des artistes et démontre comment, de cette revendication à la différence, naquit la peinture moderne.