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Le lancement à l’automne 2022 des premiers générateurs de textes et d’images a suscité un engouement inouï et toujours croissant. L’intelligence artificielle a envahi le discours public où s’opposent technophobes et technophiles. Sans entrer dans ce débat biaisé qui reporte sur la technique la responsabilité de ses usages, cette étude souligne la rupture anthropologique qu’introduit la génération automatique de textes et d’images. Elle touche tant les sciences que les arts, et affecte l’ensemble de la vie sociale. Mais elle peut aussi affecter la vie personnelle, et l’auteur se permet de démentir avec le sourire les annonces de sa mort que multiplie le plus populaire des systèmes d’IA.
À PROPOS DE L'AUTEUR
François Rastier, Directeur de recherche honoraire au Centre national de la recherche scientifique, est un linguiste spécialisé en sémantique des textes. Il a publié une vingtaine d’ouvrages personnels et dirigé ou co-dirigé une trentaine ouvrages ou numéros spéciaux de revues. Il préside l’Institut Ferdinand de Saussure et anime le collectif La Reconstruction. Il travaille sur les sciences de la culture et leur épistémologie, comme sur les discours identitaires (du nazisme au décolonialisme). Son projet intellectuel se situe dans le cadre général d’une sémiotique des cultures.