Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Deux professeurs s’insurgent : 80 % de reçus au baccalauréat, une duperie organisée ! Le lycée et le collège, en dehors de quelques établissements privilégiés, ne parviennent plus, affirment-ils, à transmettre les savoirs fondamentaux. Et ils en produisent des preuves irréfutables : les copies des élèves, sorties pour la première fois du « confessionnal scolaire ». Ces copies, y compris celles du bac, des reçus comme des recalés, sont consternantes. Langage défectueux, incohérent, voire incompréhensible, absence de repères chronologiques et culturels, défiguration des structures logiques, mémoire en friche... Comment en est-on arrivé à un tel désastre ? Les auteurs, enfreignant les tabous habituels, ont enquêté auprès de leurs collègues et des instances de l’Éducation nationale. Service d’évaluation du Ministère, directives des inspections, conception des programmes et des manuels scolaires, fonctionnement de l’orientation et des conseils de classe, instructions aux jurys d’examen sont ici vus de l’intérieur. L’institution met en avant des analyses ou des remèdes qui paraissent autant de subterfuges pour masquer une impuissance généralisée. Deux hommes de terrain, qui veulent encore y croire, en appellent au bon sens. Oui, il est possible d’enseigner au plus grand nombre. Mais à certaines conditions...