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Plongés dans l'atelier d'un tailleur, on assiste ici à la dissection de tous les revers et autres boutonnières, comme il nous faut en découdre, pour notre plus grand plaisir, avec les plis tombants des redingotes. Doté d'un œil aussi acéré qu'expert, Darwin fils révise ici les tenues, de la tête aux pieds. Déceler dans les formes actuelles du vêtement la survivance d'usages fort anciens, telle est la tâche qu'il se donne. Il applique pour cela la théorie de l'évolution à l'habillement, prompt à révéler la progression des besoins et des mœurs. Raison pour laquelle il choisit de s'intéresser au vêtement masculin – plus changeant à l'époque –, depuis le chapeau jusqu'aux bottes, en passant bien entendu par l'habit, qu'il détaille dans toutes ses parties. La veste sera différente si, au lieu de monter à cheval, l'on emprunte la voie ferrée. Mais elle conservera des traces de cette nécessité d'aisance, jusque dans nos manteaux actuels, fendus à l'arrière. La manière même de retrousser les bords de son chapeau répond à différentes exigences jusqu'à l'habitude encore bien vivace de cirer ses bottes. Quant aux rubans qui enserrent la plupart de nos feutres, ils trouveraient leur source dans le cordon qui tenait la matière molle des couvre-chefs d'autrefois. Autant d'éléments de décor qui portent la marque du passé et retracent en eux-mêmes une évolution du vêtement. Mais la mode prend aussi sa source dans l'amour de la nouveauté et dans le désir de marquer par le détail sa position sociale.