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Dans sa petite papeterie de Kamakura, Hatoko accueille toujours les clients avec une tasse de thé hôjicha choisie pour eux. Aujourd’hui, son âme d’écrivain public, restée plusieurs années en sommeil, se réveille. Avec enthousiasme, elle reprend le pinceau pour répondre aux demandes de ceux qui viennent la voir. Hatoko écoute chacun avec douceur, choisit avec attention l’encre, le papier, le pinceau et la calligraphie, car elle excelle dans l’art difficile d’écrire pour les autres. Elle rédige une lettre d’adieu d’une mère à sa fille, goûte aux daifuku d’un Yakuza Intello, calligraphie des lettres de désir ou d’espoir. Sa famille s’est agrandie et ses journées sont parfois tumultueuses, mais elle n’hésite pas à braver une tempête de neige pour remettre une lettre et à prendre la mer sur les traces d’un amour ardent et interdit. C’est un bonheur de retrouver Kamakura, les promenades dans les temples ou sous les camélias en fleur, avec la bienveillance contagieuse de Hatoko et sa confiance dans le pouvoir des mots pour faire éclore en nous la grâce de vivre.
Née en 1973, Ogawa Ito connaît une enfance assez solitaire dans une région sauvage au nord du Japon, où la nature et les liens avec sa grand-mère occupent une place prépondérante. Après des études de lettres classiques, elle se lance dans l’ écriture de romans. En 2008, Le Restaurant de l’amour retrouvé devient un best-seller mondial et est adapté au cinéma. Suivront d’autres romans, dont La Papeterie Tsubaki et La République du bonheur, tous publiés aux Editions Picquier.