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Et si la littérature n’était pas simplement un passe-temps, une forme de divertissement, une expression mineure de la culture ? Remettre les Lettres au cœur de la formation personnelle et intellectuelle du chrétien ou de tout homme, telle est l’ambition de François. Un texte majeur, au ton très personnel, sur le lien entre la religion et la littérature. Amoureux de la littérature, ce texte vous est destiné. Le pape revient sur la nécessité de fréquenter les grands auteurs, qu’ils soient classiques ou modernes. Antidote à l’obsession actuelle des écrans, la littérature n’est pas seulement un divertissement. Elle permet de former son intelligence et de découvrir d’autres cultures, elle oblige à un décentrement. Parce qu’elle contribue à former un jugement, elle est le meilleur rempart contre les extrémismes. Parce qu’elle est une fenêtre ouverte sur l’autre et le monde, parce qu’elle trahit toujours, au fond, une nostalgie du divin, la littérature demeure l’indispensable porte-ouverte sur l’universel. Féru de Lettres, François, qui a enseigné la littérature, cite Dante, Borges, Proust, Cocteau, Lewis, ou encore Eliot. Il confie son amour pour la tragédie, la poésie. Il invite chacune et chacun d’entre nous à retrouver le goût de la lecture. Une lettre pour réconcilier, s’il était encore besoin, l’Église avec les Humanités. “Je souhaite proposer un changement radical de démarche concernant la grande attention qui doit être portée à la littérature dans le cadre de la formation des candidats au sacerdoce.”