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« Vous avez mis fin à vos jours, cette nuit à 4 h 30... » Un homme aux cheveux gris veille une jeune fille qui vient de se suicider. Îlot de silence immobile parmi le tumulte indécent de la ville, cette chambre est pleine d’indices, mais elle garde son secret ; et ce masque de cire et d’ivoire le garde plus hautainement encore. Et, tout au long de cet écrit, l’homme cherchera désespérément pourquoi on se tue à vingt ans, la veille de l’été, quand on a « tout pour soi... » Et il va s’aviser que, peut-être, nous sommes tous un peu responsables de ce crime : que cette époque et cette société sont les ennemies de tout ce que peut incarner une jeune fille, les ennemies de notre âme. Réquisitoire contre ce temps, méditation sur la mort, regard sur la jeunesse, cette « Lettre Ouverte » (que sa destinataire est la seule à ne pouvoir lire) du grand romancier auquel aucun problème humain n’est étranger, est née de l’alliance pathétique de la colère et de la compassion. Aucun lecteur ne sera insensible à l’intense émotion qui s’en dégage.