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Les politiques néolibérales ont progressivement étendu la concurrence à l’ensemble de la société. La relation traditionnelle entre l’État et le marché a été bouleversée, la politique neutralisée, les libertés politiques et les droits sociaux érodés. Si les principes de la démocratie libérale ont été sapés, l’« État néolibéral » a conservé intactes ses fonctions bureaucratiques et coercitives, essentielles au marché. Les nouveaux pouvoirs, qui se sont consolidés dans le contexte de la désintégration des États-nations, sapent ces derniers temps même les libertés économiques, pierres angulaires du néolibéralisme. Suite à la concentration inéluctable du capital, il en résulte une centralisation sans précédent des sièges décisionnels, désormais complètement déconnectés des formes de représentation démocratique, encore formellement existantes. Ce sont désormais les mêmes acteurs du capitalisme transnational qui s’apprêtent à gouverner l’économie et la société, sous des formes qui renvoient à la planification de l’État interventionniste. Un « post-libéralisme » oligarchique et illibéral, qui ne peut être combattu qu’en garantissant la primauté de la personne humaine sur la techno-économie.