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Sous ce titre, Les violonistes, nous avons en réalité esquissé l’histoire des exécutants, mais aussi — mais surtout — de leur musique ; et nous ne pouvions négliger de retracer auparavant les origines d’un instrument, dont la technique — partant le répertoire — sont si étroitement régis par la forme de son corps sonore et de son archet. Les tendances actuelles de l’harmonie, qui cherche à s’évader des modes classiques, celles de la composition, de plus en plus hostile à l’étalage de la virtuosité « égoïste », comme l’appelle Wasielewski, peuvent-elles s’accommoder des tonalités ouvertes, des sonorités franches, des traits symétriques auxquels se complaisait l’école ancienne ? C’est ce que l’on ne saurait prévoir. Quoi qu’il en advienne, qu’il soit ou non déchu de sa suprématie de soliste, qu’il doive ou non rompre avec sa tradition, il reste que le violon a — pour une large part — contribué au développement de la musique moderne, que son histoire est riche de figures singulièrement attachantes, et son répertoire de chefs-d’œuvre auxquels on reviendra toujours.