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Parce qu’elle était sensible à l’effondrement des êtres, Gabriella sentit le besoin d’aller se recueillir devant la cage des vautours du zoo de Barcelone. Quelques mois plus tôt, son père Giotto s’y était écrasé à bord de l’avion Spica. Les charognards, ces beaux chéris, avaient observé la scène, stoïques et ravis. Le premier, Sasko, avait demandé à son voisin : « Rhamp, tu aimes les anthrax ? » Immobile sur son perchoir de bambou, il répondit : « Cela dépend du coryphée. » Kalino, Dur LaSoie, Eschyle, Œil de Mouche et Karma LeCoran veillaient.
Quel que soit le médium auquel il s’intéresse, Rober Racine le réinvente pour en tirer quelque chose qui brille avec tout l’éclat de ce qui est radicalement neuf.
Les Vautours de Barcelone, sans doute son œuvre littéraire la plus accomplie à ce jour, est une étonnante méditation sur la création, le tragique, la place de l’homme dans le cosmos.
C’est surtout une célébration de l’art sous toutes ses formes, et un hommage poignant à l’œuvre du compositeur Claude Vivier, dont la musique et le destin hantent le roman.