Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
A partir d’une pratique de deux ans en tant que médecin coordinateur du LAM Olympiades, nouvellement créé, de rencontres avec les résidents, d’entretiens approfondis avec tous les professionnels du LAM, et de participation aux diverses réunions, l’auteur analyse les paradoxes de l’ensemble du dispositif mis en place pour les sans domicile fixe dans le cadre social et médico-social :
Les bénéficiaires sont pour l’essentiels des étrangers sans papiers mais qui devraient en avoir et leur précarité est prescrite. L’ensemble du dispositif vient combler les carences de la politique du logement et de la politique de l’immigration. Le système qui veut restaurer l’autonomie construit de fait de la dépendance et aggrave la précarité. Le montage institutionnel passe par des associations devenues entreprises financées par des appels d’offre qui ne peuvent jamais réfléchir sur l’efficience des mesures et se contentent de boucher les trous. Le médico-social qui se voudrait proposer une prise en charge globale est morcelé et ne fait que renforcer la médicalisation dont il veut se soustraire. Enfin, l’avenir habituel des gens de la rue : la mort est totalement occultée dans tout le dispositif.