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Depuis quelques années, quelques mois surtout, on entend des portes grincer, des vasistas s'entrouvrir. On cherche à forcer l'un des plus beaux secrets de chacun, à étaler au grand jour ce qui par nature ne se résume pas, ne s'explique pas, ses coups de coeur, ses amours. Les perceurs de coffre-forts n'agissent pas dans la discrétion mais dans l'hypocrisie: ils sont les rats de garde. Ce journalisme de trou de serrure n'a rien à nous apprendre sur les capacités ou les limites de chacun. Oui ou non, le responsable, qu'il soit politique, économique, syndical, journaliste, a-t-il du talent, du courage ? Nous n'avons pas besoin de savoir s'il est franc-maçon, karatéka, cordon bleu, catholique, juif, ou protestant, homo ou hétérosexuel, ni avec qui il couche... Certains journalistes surfent, hélas !, sur une vague qui ne demandait qu'à s'engouffrer dans les brèches de digues qui s'effondrent. Elles préservaient ce que l'on nomme dans ce domaine comme en d'autres une exception culturelle bien française. Et c'est très bien comme ça.