Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
A. Etchegoyen. Avant, c’était un système où le père travaillait et pas la mère, et j’ai l’impression qu’aujourd’hui, je peux sans doute aider plus mes enfants que mon père ne pouvait m’aider quand j’étais jeune. Parce que je les connais mieux, parce que je les écoute mieux. Et puis, dans l’évolution de la société, dans les séparations et les remariages, le père peut avoir une stabilité ou, à l’inverse, une absence totale. Donc le rôle change forcément. Et il y a énormément d’éléments sociaux qui font changer notre rôle : le nouveau rôle de la femme, l’évolution des couples. J.-J. Goldman. J’ai l’impression que le rôle de la femme a essentiellement changé vis-à-vis de nous et pas tellement en ce qui concerne les enfants ou, du moins, pas tant que ça finalement. La maternité est toujours là. Elle s’impose. Pour la paternité, on a fait ce qu’on pouvait. On a beaucoup improvisé ! Je le disais des jeunes, mais c’est vrai aussi pour les pères aujourd’hui : nous sommes en face de choix qui n’existaient pas. Auparavant, « c’était comme ça ». C’est tout. C’était l’ordre des choses.