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Depuis son apparition à la fin du XIXe siècle sous la forme industrielle, la nouvelle énergie électrique s'est immiscée dans les paysages métropolitains, industriels ou ruraux. Mais cette immixtion, sous le signe de l'étrangeté de l'appareillage, du bâtiment, des configurations spatiales et des postures professionnelles, s'est progressivement, et parfois radicalement, transformée en genèse d'un paysage électrique spécifique. Ce nouveau système paysager, qui concentrait tous les signes ambivalents de la modernité avant d'être aujourd'hui en certains cas patrimonialisé, a produit des figures extrêmement diverses. Cet ouvrage dépasse largement la question des externalités économiques et sociales négatives, question toujours au demeurant centrale. Il pose un jalon dans une histoire culturelle du dialogue entre l'électricité et le paysage. Il confirme que ce dialogue déjà multiséculaire ne se réduit pas à la mesure extrêmement volatile du gradient technophile/technophobe, tradition/modernité et bien entendu nature/culture. Il insiste, surtout, sur la complexité de la trame historique de ces paysages de l'électricité, où les physionomies territoriales se reconstruisent sans cesse en brassant le quotidien et le sublime, la fabrique de la nature et les superstitions de la culture.