Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
L’un s’appelle Martinien de la Fourche ; il est français. L’autre Frantz von der Furcht ; il est allemand. Ils ne sont pas réellement jumeaux mais descendants d’une même famille alsacienne que l’Histoire, il y a trois siècles, a divisée. Cependant, ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau ; ils ont l’un et l’autre dix-neuf ans, lorsqu’ils se trouvent, par hasard, face à face, une nuit du printemps de 1945, dans l’Allemagne vaincue entre eux, une même femme : Roslind… C’est le début d’une histoire qui, par son allure, son ton, sa démarche, ne ressemble à rien de connu. Une histoire dont le monde fou de l’après-guerre est le théâtre - le monde entier, car Martinien et Frantz sont journalistes. Où les personnages réels, « historiques » même, se mêlent aux personnages de roman, comme le passé se mêle au présent et l’éclaire. Une histoire pleine de mouvement et d’invention, où la vie bouscule les hommes, les femmes, les idées. Un foisonnement, du désordre — le beau désordre de la vie vivante, saisi à bras-le-corps par un esprit et un cœur généreux.