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On a souvent considéré qu’une philosophie de l’esprit devait choisir parmi les traits distinctifs du mental celui qu’elle retiendrait pour le mettre en relief. Il ne serait pas possible de faire place dans une même philosophie aux trois faits majeurs : l’intentionnalité du mental (on discerne les pensées de quelqu’un en disant à quoi il pense), le holisme du mental (impossible de concevoir un état d’esprit isolé du tout d’une vie mentale), la part impersonnelle du mental (les acteurs ne manifestent pas seulement des capacités mentales attachées à leurs personnes respectives, mais aussi des manières de penser communes, des institutions de sens formant ce qu’on appelle un esprit objectif). Ainsi, les théories intentionalistes de l’esprit ont généralement exalté le sujet aux dépens des totalités symboliques, tandis que les théories des structures de l’esprit ont paru faire de l’acteur un simple figurant sur la scène du signifiant. De tels partis pris signalent l’échec de bien des philosophes à concevoir clairement les conditions d’une analyse holiste des phénomènes de l’esprit. Ce livre utilise les ressources analytiques de la logique des relations de C. S. Peirce pour développer une conception holiste de l’intentionnalité de l’esprit (tant subjectif qu’objectif). Ce faisant, il introduit, par l’analyse d’exemples plutôt que par un simple survol historique des doctrines, aux problèmes discutés dans les grandes philosophies de l’esprit de ce temps : phénoménologie, individualisme, structuralisme, pragmatisme.