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Innombrables sont les ouvrages consacrés à l’auteur des Misérables, mais sait-on qu’à côté du génie a gravité toute une famille pleine de talents ? À commencer par le père de Victor, le général « au sourire si doux », héros des guerres napoléoniennes. Puis ses frères Abel et Eugène, poètes méconnus ; et enfin ses fils Charles et François-Victor, l’un auteur dramatique, l’autre traducteur des œuvres complètes de Shakespeare. Et rappelons les destins tragiques de ses filles Adèle, devenue folle, et Léopoldine, morte noyée ! Les talents ont ensuite passé aux générations suivantes avec Georges et sa sœur Jeanne, les petits-enfants espiègles de L’Art d’être grand-père. Le premier fut peintre et aquarelliste de renom ; la seconde, l’épouse de l’écrivain Léon Daudet puis de l’explorateur Jean-Baptiste Charcot. Au XXe siècle, les Hugo, ce furent encore Jean, peintre, illustrateur, décorateur de théâtre, intime collaborateur de Raymond Radiguet, Jean Cocteau, Paul Éluard ou Erik Satie ; et François « l’orfèvre des artistes », auteur de bijoux en or dessinés par ses célèbres clients et amis tels Picasso, André Derain ou Max Ernst. Henri Pigaillem retrace ainsi deux siècles d’une prestigieuse histoire familiale dans un livre fourmillant d’anecdotes souvent inédites.