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Georges de Sarre a dit adieu au monde des Ambassades et abandonné sa particule — en même temps que la diplomatie — pour devenir écrivain. Si quelques fils gris argentent ses tempes, il a gardé le goût de mordre à la vie à belles dents, et de ne refuser aucune expérience. Aussi, après les premiers étonnements, écoute-t-il le mentor de ses jeunes années, le père de Trennes, qui voudrait le voir devenir franc-maçon. Pourquoi cette surprise, c’est que la franc-maçonnerie ne passe pas pour être en odeur de sainteté auprès des autorités ecclésiastiques. Georges connaissait quelques-uns des préjugés qui s’attachent à cette société secrète ; il en étudie — guidé par l’élégant Jésuite — les arcanes et la puissance. Comme son amie Françoise s’oppose à ses projets, et que la fille de Françoise — l’acide et vive Osmonde — s’y intéresse, cela lui est l’occasion de rompre des lances en faveur de ces « fils de la lumière », qui défendent la fraternité universelle sous le symbole de l’équerre et de la truelle — et de brosser un de ces tableaux où se mêlent ombres et lumières, auxquels excelle le talent satirique de Roger Peyrefitte.