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Dans sa lente construction, l'ensemble à vent gagne, au XVIIIe siècle, une place de choix et d'influence dans l'art musical, rivalisant et popularisant par la transcription le genre musical adulé : l'opéra-comique. Les sociétés de concerts permettent d'entendre une génération d'instrumentistes virtuoses qui purent donner aux vents un répertoire et une respectabilité. Mais au moment où la Révolution française balaie les institutions anciennes, c'est vers ce nouvel objet musical que se tournent les regards. Capables de sonoriser de vastes espaces, les ensembles à vent deviennent les vecteurs principaux d'une musique nationale, civique et populaire conservée aujourd'hui encore dans la mémoire collective. Avec le Consulat et l'Empire, l'émergence des « fêtes bottées » instrumentalise ces ensembles en de pures musiques militaires, donnant à la fois un répertoire, un faste et surtout se diffusant dans les états sous domination française. Mais cela se révèle aussi un piège pour un genre musical qui ne devient qu'utilitaire.