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« Monsieur, pourquoi ne pas étudier une photographie où l’on sait qui sont les personnes et ce qu’elles sont devenues ? »Une question anodine posée en cours d’histoire, et voilà toutes les certitudes du professeur qui volent en éclats ! Lui-même, que sait-il de son passé, de cette photographie du cousin Georges dont on tait l’existence dans sa famille ? Raflé dans une pharmacie tenue par un couple juif, le jeune homme aurait été déporté à Auschwitz. Piqué au vif par la question de l’élève, Frédéric Sallée entreprend d’enquêter sur ce qu’il pressent être un lourd secret. Grâce aux archives, l’auteur découvre une réalité bien différente. Le cousin Georges n’a jamais été déporté en Pologne. Et les dix autres personnes raflées ce jour-là – des notables, prêtres, résistants et Juifs – ont été dispersées dans toute l’Europe. Voyageant de l’Ardèche aux confins de l’Allemagne, des terres de la Shoah jusqu’au Goulag sibérien, Frédéric Sallée reconstitue cette histoire sans se douter qu’elle bouleversera à jamais sa façon d’enseigner. Dans un texte émouvant et sincère, Les Enfants du pays interroge la place de l’intime dans les cours d’histoire et la transmission de la mémoire entre les générations.