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Ce livre d’Étienne Souriau se présente comme un petit traité consacré à une question fondamentale : y a-t-il différentes manières d’exister ? Quel rapport entre l’existence d’une œuvre d’art et celle d’une personne ? Entre l’existence de l’atome et celle d’une valeur comme la solidarité ? Ces questions sont les nôtres, à chaque fois que quelque chose prend consistance et vient à compter dans nos vies. L’ouvrage défend méthodiquement la thèse d’un pluralisme existentiel : il y a, en effet, différentes manières d’exister — et même de « sur-exister », ou de « sous-exister ». L’existence est polyphonique. Dans un style à la fois clair et enlevé, l’auteur montre de quelle manière notre vision du monde s’en trouve radicalement transformée.Le texte d’Étienne Souriau (environ 150 pages) est précédé d’une introduction substantielle, un essai co-signé par Bruno Latour (sociologue des sciences et des techniques) et d’Isabelle Stengers (philosophe des sciences) : « Le sphinx de l’œuvre ». Cette introduction contribue à dégager les éléments les plus novateurs et les plus actuels de la réflexion de Souriau, en montrant le jeu de correspondances qu’elle entretient avec la philosophie pragmatiste ou celle de Deleuze, par exemple.En appendice est reproduit le texte d’une conférence de Souriau consacrée à l’œuvre d’art : « Du mode d’existence de l’œuvre à faire » (1956).