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Entre le VIIIe et le VIe siècle, des Grecs quittent le bassin égéen, Ionie ou Grèce balkanique, pour se déplacer ou s’installer dans des régions alors inconnues de leurs communautés. Qu’il s’agisse d’initiatives individuelles ou de migrations organisées, ils créent, majoritairement sur les rives nord de la Méditerranée et le pourtour de la mer Noire, de nouvelles cités qui, par leurs contacts avec des populations étrangères, se construisent une identité spécifique. En Orient, les installations grecques sont plus sporadiques jusqu’à ce qu’Alexandre de Macédoine mène ses soldats vers l’Indus. On considère désormais que cette expansion grecque fait partie intégrante de l’hellénisme et certains historiens préfèrent le terme de diaspora à celui de colonisation, majoritairement utilisé par l’historiographie. D’où l’intérêt de cet ouvrage qui reprend, à nouveau frais, la question de l’expansion grecque. Construit selon un découpage régional, il étudie les modes d’organisation politique et économique, les pratiques culturelles, les réseaux d’échanges de ces communautés réunies dans un système-monde original.
Ouvrage coordonné par Sophie Bouffier, professeur d’histoire grecque à l’université d’Aix-Marseille.
Avec la collaboration de Alexandre Baralis, Pierre Cabanes, Omar Coloru, Maria Cécilia D’Ercole, Olivier Mariaud, Pierre Moret et Pierre Rouillard.