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Ce livre est, d’une certaine façon, un événement. Il concerne tous les Français. Tous les contribuables français que l’on « tond » cyniquement depuis des années. Expliquons d’abord son titre. De quelles « danseuses » s’agit-il ? Réponse : des départements et territoires d’outre-mer, ces « confettis » de l’Empire dispersés aux Antilles, dans l’océan Indien et le Pacifique. Pourquoi dire de ces DOM-TOM qu’ils sont nos « danseuses » ? Réponse : parce que le contribuable métropolitain leur versera en 1980 plus de 12 milliards de francs (mille deux cents milliards de centimes !) de subventions, soit la somme ahurissante de 9 000 francs par tête d’habitant vivant dans ces îles. Cela fait 36 000 francs (3 600 000 centimes) par famille ! On peut donc dire des populations des DOM-TOM qu’elles sont totalement entretenues. Pourquoi l’auteur dit-il qu’il y a scandale ? Parce que ces subventions sont loin de profiter en totalité au peuple des îles. La moitié de cet argent sert en effet à entretenir 120 000 fonctionnaires« coloniaux », pour la plupart inutiles, et qui sont payés deux ou trois fois plus que des fonctionnaires métropolitains. Ces abus résultent d’incroyables pressions faites sur le pouvoir par les tout-puissants syndicats de fonctionnaires. Le résultat : un véritable racket de l’argent des contribuables français par une caste arrogante et prévaricatrice. Et pourquoi l’auteur prévoit-il un désastre ? Parce que ces abus ont détruit l’économie des « îles » et suscité des rancœurs qui tournent à la haine. Parce que les troubles et les émeutes se multiplient, aux Antilles en particulier. Parce que nous allons perdre avant peu ces territoires, peut-être dans des circonstances tragiques. Mais les coupables sont maintenant désignés ! « Les danseuses de la France » : un livre-bombe qui pose, dans toute sa clarté, un problème d’intérêt national.